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Notre organisme associatif
revendique le statut permanent pour UTILITÉ PUBLIQUE ... Il est aussi très important de savoir que le CCREEST n'est pas du tout un organisme ou une société secrète, au contraire chaque personne peut s'y exprimer avec respect.
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☼ Ce site Internet ne change pas beaucoup, mais il est toujours à jour ... Aout 2023
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Statuts de l'association renouvelés en cours
communication
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Ci-dessus ma découverte du site protégé par les Monuments Historiques
Ci-dessous ce que j'ai réalisé pour le bicentenaire de la République Française via les Monuments Historiques, d'après un tableau de Mike Capple sur commande du CREST initial * à l'occasion du bicentenaire de la mort de Jean Paul Marat le 13 juillet 1993
Puis ce que ce bâtiment historique est devenu aujourd'hui, au cours du Printemps 2023 : un authentique espace convivial où des rencontres culturelles deviennent possibles dans un lieu ouvert à tous et restauré avec goût.
* Le CREST est devenu le CCREEST Centre culturel de rencontres esthétique - éthique - scientifique - technique, depuis 2001, a entreprit les démarches nécessaires pour obtenir le statut « UTILITÉ PUBLIQUE »
► Voir aussi la page facebook
du CCREEST
* L'idée originale du CREST est née lors d'une de mes expositions de peintures (été 1985) en discutant avec les invités et visiteurs. Il s'agissait de valoriser un espace culturel qui ne soit pas le territoire des marchands. Un peu du style maison de la culture, mais sans avoir de comptes à rendre à l'administration. J'ai ainsi entrepris les démarches qui m'ont menées un an plus tard à écrire à François Mitterrand pour faciliter la création d'une ‘ Cellule de Recherche Esthétique - Science - Technique ’.
Je lui précisais que le lieu idéal serait l'ancienne imprimerie de Marat - à l'époque complètement délabrée - et que le mécène pressenti serait paradoxalement en cheville avec le ministère de la défense. Argumentant, dans un mémoire intitulé " La création se parachève au présent ", qu'un tel organisme m'apparaissait plus utile qu'un nouveau navire de guerre ... Le tout, "... pour harmoniser la science et la technologie d'aujourd'hui avec l'homme et son histoire universelle." ... Il me répondit alors de m'adresser plus directement aux ministères concernés, soit ceux de la Défense et de la Culture.
Bien sûr je le fis, et l'année suivante, en 1987 - via le Ministère de la Défense - vit la création du CREST de l'école Polytechnique : "Centre de recherche et d'études pour l'évaluation des stratégies et des technologies". Puis parallèlement, l'idée culturelle continua de germer jusqu'à donner naissance à la très grande bibliothèque de Tolbiac, justement appelée du nom de celui qui a su donner à mon projet une dimension planétaire.
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Ce tableau connu « La cour du commerce Saint André », se situe au détour de la voie aujourd’hui couramment nommée « Le passage du commerce Saint André. » C’est l'allée pavée (les pavés sont d'époque) qui va du boulevard Saint-Germain à la rue Saint-André-des arts. On y accède aussi par la rue de l'Ancienne comédie, angle de vue du motif. Apparemment rien de mystérieux dans ce tableau, il est peint en 1952. Pourquoi s’interroger sur cette peinture ? Parce qu’il y a là un détail qui questionne. Ce détail est central : cette espèce de petit chien qui fait aussi penser à un agneau. Que peut faire un agneau tout blanc au milieu de ce passage, au centre de cette scène urbaine, extrêmement familière a priori ?
Au numéro 8 , il y avait la fameuse imprimerie où Marat faisait imprimer « l’Ami du Peuple ». Journal qui deviendra le “Journal de la République Française", ancêtre de l'actuel JO “Journal officiel”. Il utilisait les poinçons "Romains du Roy" confisqués à Versaille lors des premières émeutes. Une imprimerie Typographique existait encore là en 1975. Cette imprimerie avait eu comme propriétaire, en 1792 un an avant la mort de Marat, Guillaume Marianne Brune qui était un des premiers fondateurs du club des cordeliers, avec Danton, Desmoulins et Hébert.
Par le numéro 6 , on accédait au premier étage, à un cabinet de lecture tenu par Félicité Dupont, veuve Brissot - illustre jacobin décapité en 1793 quelques mois après la mort de Marat. Il avait été constitué partir de l’immense bibliothèque de Brissot.
Au numéro 4 , il y avait une serrurerie qui existait encore en 1975. La serrurerie est indiquée par la clé d’or au centre du tableau. C’est dans cette serrurerie qu’on a forgé la première lame de la guillotine qui fut expérimentée en 1792 en ce lieu même, sur un agneau avant qu’elle ne fût expérimentée à l’hôpital de Bicêtre sur trois cadavres. Les plaques de fondations de la première quillotine existent encore. Elles se situent justement là où Balthus avait posé son chevalet. Quatre mètres sur les canoniques trente-huit centimètres de largeur.